Pas de passion, pas de carrière !

Faites la découverte de gens passionnés aux profils variés par le biais de nos cartes portraits.

Laissez-vous inspirer par leurs personnalités, leurs parcours et leurs visions de la métallurgie.

 
 

Qui est Maxim ?

Mon nom est Maxim et je suis électromécanicien chez Frontmatec depuis 5 ans.

Je suis quelqu’un de très minutieux, bien organisé, attentif et très manuel. J’aime les défis et partager mon expérience de travail avec mes collègues. J’aime être professionnel tout en ayant du fun au travail.

Contrairement au travail, quand je suis chez moi je suis quelqu’un de très introverti. J’aime jouer aux jeux vidéo et faire du sport. J’aime aussi travailler sur mon véhicule, la mécanique automobile est une de mes passions ! De manière générale, j’aime tout ce qui est mécanique, car j’aime me salir les mains ! Quand je finis ma journée, je regarde mes mains : si elles sont sales, c’est que j’ai réussi ma journée !

Ma formation

J’ai suivi un peu les traces de mon père pour choisir le métier que je voulais exercer. Il est mécanicien industriel. Parfois, je l’accompagnais sur son lieu de travail pour passer la journée. J’adorais ça ! J’étais un enfant très curieux, et j’aimais les défis.

J’ai donc choisi de finir mon secondaire 5 et d’aller faire 2 DEP : Mécanique industrielle et Electromécanique. J’ai suivi le cours d’électromécanique, systèmes automatisés, mécanique industrielle à Amqui, l’une des meilleures écoles au Québec. C’est une formation de 2 800 heures.

Pendant ma deuxième année, avec des camarades, on a intégré un déchiqueteur à bois (un chipper) dans la mini-usine qui nous servait de lieu de formation, mais on n’avait pas installé de système d’aspiration : la section de l’école a dû fermer pour deux jours !

Je n’aimais pas vraiment l’électromécanique, mais c’est en postulant pour ce poste que j’ai été recruté et c’est finalement en travaillant que j’ai appris à aimer ça, j’ai découvert que c’est plus fun que ce je pensais !

 
 

Mon emploi

À la sortie de mon DEP, j’ai envoyé des dizaines de C.V. et en moins d’une journée j’avais déjà reçu plusieurs réponses ! C’est Frontmatec qui a davantage attiré mon attention, avec la robotisation dans l’industrie alimentaire.

J’y suis maintenant chef d’équipe depuis 5 mois. Je suis celui qui a le plus d’expérience dans l’équipe du soir. Je commence par faire le transfert avec l’équipe de jour puis je donne l’ouvrage aux équipiers. Par exemple, s’il y a un panneau à brancher, j’indique comment passer le fil.

Je fais de la charpenterie, j’assemble, je visse, je passe des fils : chez nous, la machine est créée de A à Z.

Dans certaines usines, un électromécanicien fait aussi de la programmation. Ici, ce sont des programmeurs qui le font, et on s’occupe uniquement des branchements de la machine. Pour faire cela, il faut savoir lire des plans électriques, dégainer et brancher, mais aussi réaliser des tests, mener des analyses et effectuer la maintenance. C’est un métier dans lequel on apprend au fur et à mesure. On touche un peu à tout !

Electromécanicien de nos jours c’est un métier très en demande dans de nombreux domaines, incluant la métallurgie, bien sûr ! Si l’on est moindrement débrouillard, on peut facilement trouver un endroit où travailler.

Accomplissement personnel

Quand j’ai commencé ici, on a travaillé sur une immense machine. À peine deux semaines après mon arrivée, je me suis retrouvé sur le projet : j’étais fier de travailler sur quelque chose de neuf et d’aussi imposant ! Par la suite, j’ai effectué le câblage d’un robot. Une fois achevé, mon superviseur a vu que j’étais bon pour cette tâche et m’en a confié 11 autres !

J’ai également vécu un sentiment d’accomplissement en devenant chef d’équipe. C’est quelque chose qui me rend fier ! En tant que chef d’équipe, j’aime donner des défis aux employés, je les encourage à s’interroger sur ce qu’ils font, je les aide à devenir autonomes.

Enfin, un aspect de mon travail qui me plait vraiment, c’est qu’il m’a permis de voyager pour installer nos machines ! J’ai été trois fois à Los Angeles et deux fois au Manitoba. Et je ne compte plus vraiment les voyages au Québec !

Lorsque l’on est en chantier, les heures passent plus vite. Je me souviens que lors d’une installation, j’avais 500 fils à brancher dans une seule journée. Les collègues qui montaient la ligne avaient l’impression qu’ils travaillaient plus fort que moi. Mais quand je leur ai proposé d’essayer de brancher les fils, ils ont préféré retourner à leur propre tâche !

 
 

Savais-tu que…

Savais-tu que la viande de porc qui est consommée en Amérique du Nord a probablement été

découpée par l’une de nos machines ou l’un de nos robots fabriqués ici ? 88% du porc consommé en Amérique du Nord est transformé par une machine de Frontmatec !

 
 

Fait comme Maxim et informe toi sur la profession d’électromécanicien !

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