Au Québec, le métal est une richesse
L’industrie québécoise des métaux génère de bons emplois dans l’ensemble des régions, exporte ses produits à l’international et participe à l’essor économique local.
En transformant ces métaux, plus de 100 000 Québécois(es) forgent notre économie et fabriquent la société de demain.
PAS DE MÉTAL
PAS DE TECHNOLOGIE
Pas de métal, pas d’internet. Pas de métal, pas de jeux vidéos. Pas de métal, pas de piles. Pas de métal, pas de prothèses médicales…
Les métaux québécois sont innovants ; les métaux sont à la source des progrès technologiques et le savoir-faire de notre région est reconnu internationalement.
PAS DE MÉTAL
PEU DE DÉVELOPPEMENT DURABLE
Pas de métaux, pas d’électrification des transports, pas de transition énergétique. Pas de zinc, moins de matériaux durables. Pas d’aluminium, moins d’économies d’essence. Pas d’acier, pas d’éoliennes. Pas de métal, pas de recyclage à l’infini…
Les métaux québécois font partie de solutions responsables ; les métaux contribuent au développement durable, à la valorisation des richesses naturelles et à la production de nouvelles sources d’énergie.
PAS DE MÉTAL
MOINS D’OPPORTUNITÉS DIVERSIFIÉES
L’industrie québécoise des métaux a besoin de tout le monde ! En raison de ses nombreuses perspectives de carrière, les entreprises souhaitent attirer davantage de personnes avec différents niveaux d’études ; des technicien(ne)s, des opérateur(-trice)s, des ingénieur(e)s… Mais aussi des personnes de tous les genres et de toutes les origines.
La métallurgie au Québec est reconnue mondialement et attire de nombreux talents de l’étranger, ces derniers étant accompagnés dans toutes les étapes de leur installation et intégration au Québec.
PAS DE MÉTAL
MOINS D’ÉCONOMIE LOCALE
L’industrie québécoise des métaux est locale, et ancrée dans plusieurs régions.
Le Québec est riche en fer et autres minerais de métal. Ces ressources naturelles sont valorisées et engendrent une industrie métallurgique solide qui génère de bons emplois partout au Québec. Transformés ici, les produits issus de cette industrie sont exportés à l’international et participent à l’essor économique des régions.
Une campagne présentée par
Le comité sectoriel de main-d’œuvre de la métallurgie du Québec est une table de concertation sectorielle dont le mandat vise le développement des compétences de la main-d’œuvre.
Relevant de la Commission des partenaires du marché du travail, le CSMO-M informe des enjeux sectoriels, travaille à la sensibilisation du public sur les besoins de main-d’œuvre et développe des programmes de formation continue, financés par le MTESS, dans le but de consolider et d’accroître les compétences.
Pour réaliser son mandat, le CSMO travaille en collaboration avec les diverses organisations partenaires du secteur, Services-Québec, le ministère de l’Économie et de l’Innovation, les institutions de formations du réseau du ministère de l’Éducation et tout autre ministère ou organisations pertinentes.
PERFORM, le Comité sectoriel de la main-d’œuvre dans le secteur de la fabrication métallique industrielle (FMI) est un organisme paritaire à but non lucratif dont la mission consiste à favoriser et consolider la concertation entre les différents acteurs du secteur en vue d’un objectif commun : la formation, le développement et la reconnaissance des compétences de sa main-d’œuvre.
Le secteur de la FMI comprend la seconde et la troisième transformation des métaux. À ce titre, il fabrique des produits métalliques, des machines et du matériel de transport, à l’exception de ceux liés à l’aérospatial. Composé de plus de 3 300 entreprises totalisant près de 110 000 emplois, ce secteur représentait en 2019 plus de 15 % du chiffre d’affaires du secteur manufacturier québécois. C’est aussi un secteur de petites et moyennes entreprises puisqu’en 2020, près de 85 % d’entre elles comptaient moins de 50 employés. Bien qu’il soit solidement implanté dans l’ensemble du Québec, ses entreprises sont particulièrement nombreuses dans les régions de Montréal et de la Montérégie.
La FMI du Québec est un secteur extrêmement vaste et diversifié qui se distingue par rapport aux autres entreprises du secteur manufacturier puisque sa capacité de production dépend davantage du savoir-faire de ses travailleurs que de la performance des machines. C’est pourquoi 55 % de ses effectifs exercent un métier spécialisé, comparativement à 29 % dans l’ensemble du secteur manufacturier. C’est par conséquent une industrie qui recèle un savoir-faire collectif d’une grande valeur basé sur une solide formation professionnelle bonifiée par un apprentissage constant en milieu de travail.
Pour assurer son essor, le secteur de la FMI doit pallier une problématique de rareté de main-d’œuvre. Elle est donc constamment à la recherche de nouveaux talents.
Ces réalités du secteur sont au cœur de la mission de PERFORM.
Les comités sectoriels de main-d’œuvre (CSMO) sont des organismes autonomes formellement reconnus par la Commission des partenaires du marché du travail en vertu de la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre.
Partenaires
Collaborateurs
